Le monitoring, qu’est-ce que c’est ? Le monitoring foetal consiste à poser sur le ventre de la maman un appareil de « surveillance » (terme littéral pour monitoring en anglais) qui permet d’enregistrer électroniquement les mouvements du cœur du bébé et ses variations.
Toute éventuelle souffrance du fœtus sera ainsi visible par l’équipe médicale qui pourra intervenir et agir.
Un monitoring obstétrical pourra aussi détecter les contractions utérines, en étudiant les mouvements de l’utérus de la même façon.
Comment ça se passe ? Ce n’est absolument pas douloureux.
Techniquement, on vous applique un (ou plusieurs) capteur, posé à même la peau, sur le ventre et maintenu par un système élastique.
Rien de pénétrant ni d’agressif donc.
Juste parfois un peu froid.
C’est, en revanche, bruyant : vous entendrez très nettement le rythme cardiaque de bébé.
Le monitoring est particulièrement usité durant les deux derniers mois de grossesse, mais peut être prescrit avant.
A quoi ça sert ? Le moindre trouble du rythme cardiaque de bébé sera décelé, que son cœur s’accélère ou diminue : un tracé électrocardiographique le notera.
La moindre souffrance de l’enfant à naître peut donc être décelée par le monitoring fœtal.
Quant aux mouvements utérins : il est parfois indispensable de les observer pour déceler, par exemple, les signes d’un accouchement prématuré, d’observer l’avancée d’un travail en cours, etc.
De quoi garder bébé en parfaite santé et prévoir les gestes à faire pour qu’il le reste jusqu’à la naissance.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.