Les universités ou les grandes écoles ? Tout dépend de l’objectif professionnel que chacun souhaite se fixer.
Les études à l’Université, sont en général, moins coûteuses que celles des grandes écoles et moins difficiles d’accès.
En effet, il suffit d’avoir le Bac pour intégrer l’université.
Le monde de la « fac » est un autre monde pour l’ex-lycéen.
Souvent seul pour étudier, en autonomie dans ses recherches, l’étudiant doit se préparer deux fois par an aux fameux partiels examens semestriels, qui sanctionnent le passage en année supérieure.
Les grandes écoles comme l’ENA, la Polytechnique et la normale supérieure requièrent l’obtention d’un concours d’entrée avec un nombre limité de places.
Chaque école a son concours.
Il existe des classes préparatoires pour les grandes écoles, du Bac à Bac+2.
Quelles filières sont porteuses d’avenir ? Il est clair que l’université est en perte de vitesse, depuis quelques années.
En fait, l’université, comme les classes préparatoires offrent de bonnes bases théoriques et polyvalentes.
La « fac » mène avant tout aux métiers de l’enseignement ou de la recherche.
Les BTS et les DUT offrent des débouchés réels dans les entreprises.
Cependant, un BTS Hygiène propreté Environnement reste plus prisé sur le marché du travail qu’une Licence d’Arts Plastiques.
Une raison simple, les entreprises recherchent des techniciens et non des personnels instruits, sans expérience professionnelle significative.
Les écoles de commerce sont un vecteur de réussite à partir du Bac+3 ou Bac+5.
Malgré les coûts sont onéreux, environ 8000€ par an, elles garantissent un emploi rémunérateur de cadre commercial à leur sortie.
Le domaine de la santé recrute en masse des infirmières (Bac+3), des médecins (Bac+8), des diététiciens (Bac + 2) Après un Bac, on peut également arrêter ses études et passer des concours de la fonction publique, comme dans la police, la gendarmerie, les impôts, ou dans l’administration territoriale.
Ainsi, de nombreuses orientations existent après le Bac.
Enfin, il ne faut pas oublier qu’un diplôme reste le meilleur rempart contre le chômage.
* Tarifs constatés en juin 2011