En fonction des procédures de divorce Le prix d’un divorce amiable, le plus simple, le plus rapide et aussi le moins cher vous coûtera entre 2000 et 3000€.
Le divorce pour altération du lien conjugal devrait vous revenir à 2500 jusqu’à 3500€.
Le divorce pour acceptation du principe de rupture peut voir son coût varier considérablement de 3500 à 8000€.
Enfin, le divorce pour faute, le plus complexe passera de 4000 à 12000€.
Ces prix sont valables pour la région parisienne et sont à revoir à la baisse si vous habitez en province.
Le plus simple pour régler la séparation au plus vite et au moindre coût est donc de trouver un terrain d’entente de façon à faciliter la tâche de l’avocat.
// A savoir Les avocats peuvent proposer des forfaits ou des tarifs horaires.
Ces derniers sont très variables.
Comptez de 76 à 350€ de l’heure.
Toutefois, pour les personnes ayant de faibles revenus, il est possible de recourir à l’aide juridictionnelle.
Pour en bénéficier, il faut remplir certaines conditions : être de nationalité française ou ressortissant de l’Union Européenne ou être de nationalité étrangère résidant habituellement en France.
Les conditions de résidence ne sont pas exigées si la personne est mineure, témoin assisté, mise en examen, prévenue, accusée, condamnée ou partie civile.
Les conditions de ressources, quant à elles, s’échelonnent de moins de 915€ avec une prise en charge à 100% à un maximum de 1372€ pour une prise en charge de l’Etat de 15%.
Les frais supplémentaires Un divorce par consentement mutuel comprend des frais de justice qui sont généralement compris dans les frais d’avocat.
Pour les autres procédures de divorce, il faut compter entre 100 et 1000€, selon les rebondissements de l’affaire ! Cela comprend les frais d’huissier et le cas échéant, il faudra ajouter 1500€ si le juge demande une expertise du patrimoine du couple.
Par ailleurs, celui qui perd le divorce aura les frais de justice et d’enquête pour lui.
Question temps, sachez qu’en moyenne, un divorce dure onze mois.
Avec la palme de rapidité pour le consentement mutuel : 3 mois.
Et comme le temps, c’est de l’argent…