Un monde en cube Loin des graphismes incroyables que peuvent nous proposer les consoles, le monde de Minecraft est composé exclusivement de cubes que vous pouvez récolter et déplacer à votre guise.
En plus de ces ressources trouvées naturellement, vous pouvez fabriquer (« crafter » dans le jeu) des produits manufacturés comme des pioches pour miner plus rapidement la pierre.
Les possibilités de « craftage » sont immenses, avec plus de 150 objets à fabriquer à ce jour.
Jouer à Minecraft est donc une constante découverte, tant par la simple exploration de la carte et de ses souterrains que par les possibilités offertes par le « craft ».
Un cycle jour-nuit Le monde de Minecraft change radicalement entre le jour et la nuit.
En effet, lors de la journée, vous côtoyez cochons et moutons dans un monde sans danger.
Mais dès que tombe la nuit, des monstres font leur apparition dans ce paisible monde.
Il vous faudra donc construire un abri avant le crépuscule, sinon vous ne survivrez pas aux assauts des zombies, des squelettes et d’autres créatures.
Ainsi, Minecraft n’est pas seulement un jeu de création, mais aussi un jeu de survie impitoyable.
Un jeu pour tout le monde L’explorateur téméraire vaquera à travers la carte pour admirer les paysages et trouver des ressources rares.
Le féru d’architecture réalisera des constructions impressionnantes avec son matériel cubique.
Le surdoué en électricité concevra des circuits complexes avec la « Redstone » pour verrouiller ses portes ou pour composer des musiques.
Cependant, Minecraft propose un mode multijoueur dans lequel vous pourrez coopérer avec d’autres personnes pour mieux faire face aux monstres.
C’est dans cela que ce jeu brille particulièrement, avec un monde en perpétuelle évolution dans lequel vous pourrez poser votre pierre à l’édifice.
En conclusion, Minecraft est la référence du jeu bac-à-sable, dans lequel tout le monde y trouvera son compte dans un monde qui sera constamment le vôtre.
De plus, il est proposé à la modique somme de 15USD(prix constaté en août 2011), alors, pourquoi s’en priver ?