Tout d’abord, il faut savoir que la maladie de Parkinson est due à la disparition des neurones qui produisent la dopamine.
Le traitement repose donc sur l’administration d’un analogue, la L-Dopa dont les effets secondaires entrainent des effets indésirables tels que des troubles comportementaux impulsifs.
Certains patients connaissent alors des troubles comportementaux impulsifs comme par exemple des addictions aux jeux de hasard ou bien développent une sexualité compulsive.
Certains neurologues précisent que ces patients présenteraient un terrain propice à ces manifestations ayant eu des antécédents.
Ce qui reste à vérifier, car de nombreux patients traités n’auraient jamais eu d’antécédents psychiatriques déclarés auparavant.
D’autres spécialistes dénoncent un surdosage qui provoquerait ces désagréments excessifs et dangereux, puisqu’en diminuant la posologie on observerait une diminution des troubles.
Tout reste à penser que l’absorption de ces médicaments seraient donc la seule responsable de ces troubles et provoquerait de l’irritabilité, des achats compulsifs, de l’hypersexualité, des conduites addictives aux jeux de hasard.
Cela pose la question de la responsabilité de suivre ses patients et de les informer des risques qu’ils encourent, afin de les protéger eux et leur entourage.
Certains spécialistes ou familles dénoncent une non-information.
Le phénomène étrange serait qu’en France, ces cas seraient exceptionnels, tandis qu’en Angleterre par exemple, ces troubles concerneraient 17% des patients en 2011 ; visiblement la prise en charge serait différente Outre-Manche.
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