Le juke box: un peu d’histoire C’est dans les années 1930 qu’apparaît aux États-Unis le terme de juke–box.
Il est dérivé d’un mot d’argot, juke joints, qui fait référence à ces bars où l’on vient danser.
Au même moment, les groupes de musique qui se produisent dans ces bars sont appelés les juke bands.
Quatre grandes marques vont se disputer le marché du juke–box : Wurlitzer, Seeburg, Rock-Ola et AMI.
Le juke–box se trouve alors dans les bars sous différentes formes : le plus souvent il prend beaucoup de place est est un élément essentiel et immanquable du bar.
Parfois aussi on le trouve sous une version plus compacte qui peut alors s’accrocher au mur.
Le juke–box connaît son âge d’or des années 1945 aux années 1970, période vers laquelle la demande tend à chuter.
Ensuite, dans les années 1990, l’arrivée du compact-disc marque le déclin du vinyle et, par répercussion, celui du juke–box.
Où acheter ou louer un juke box? À la grande époque du juke–box environ deux millions d’unités ont été fabriquées, il est donc encore possible aujourd’hui de faire des affaires en dénichant un vintage juke–box, notamment sur Internet.
Pour bien s’informer sur le sujet et rassembler un maximum d’informations, le site flipjuke.
fr est une bonne source.
Pour se procurer un juke–box, par exemple pour un lieu public, il faut faire appel à des importateurs de machines, tels que SFA ou Juke box top prices.
Il est aussi parfois possible de louer un juke–box vintage pour un évènement particulier.
À Paris, Vintage Gallery possède un magasin dans le 17ème arrondissement.
Certains fournisseurs pourront aussi proposer une machine qui aura tout le look d’un juke–box d’époque, mais avec toute la technologie moderne.
Dans tous les cas, avant d’investir dans l’achat ou la location d’un juke–box il importe de bien s’informer afin de payer le juste prix et de savoir distinguer un véritable vintage d’un faux.
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