– Le philatéliste : généraliste ou spécialiste Le philatéliste peut se spécialiser et ne posséder qu’un pays ou un thème.
Cependant, la richesse qu’apportent les timbres au niveau de la culture générale amène souvent ce dernier, lorsqu’il est passionné, à se pencher, de plus en plus, dans l’avancement de sa collection, vers la connaissance de plusieurs pays.
– Les timbres : des formes Les timbres se présentent de diverses façons.
Ils ont des géométries variables.
Il s’en trouve aujourd’hui des ronds, d’autres en forme de losanges, voire même en forme d’os pour le dernier de la série Astérix.
– Les timbres : l’histoire des peuples Entre paysages, monuments historiques, personnages divers, représentations de tableaux d’artistes, notamment, il est possible de s’intéresser et d’apprendre beaucoup de choses : le timbre incite à lire, chercher, s’investir de façon plus active qu’à la lecture d’un roman historique.
De 1840 à nos jours, le timbre One Penny en Grande Bretagne a fait du chemin.
Les guerres, les colonisations ont souvent bouleversé leur mise en service.
Il est intéressant de voir, à travers eux, l’évolution des sociétés.
Timbres de propagande, timbres de bienfaisance… il en existe de toutes sortes.
Certains ont même été démonétisés comme ce fut le cas pour le timbre de Pétain.
La conception, les tarifs, l’usage de ce dernier ont évolué.
Dentelé ou non, perforé, avec ou sans filigrane, typographié, en taille douce… un timbre a une vie, un passé et se doit d’être étudié minutieusement tant sur le fond (son histoire) que sur la forme (son état, oblitération s’il y en a une, gomme, etc.
) qui en disent long.
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