Le développement durable se définit par une réponse aux besoins actuels sans pour autant compromettre les prochaines générations.
Ce concept est né à la fin des années 1970 avec pour principales causes le changement climatique et la raréfaction des ressources naturelles et repose sur trois piliers : économique, social et écologique.
A cela s’ajoute ce que l’on nomme la gouvernance.
La gouvernance est la participation de tous les acteurs (particuliers, entreprises, élus… ) au processus de décision, c’est une forme de démocratie participative.
L’objectif principal d’associer le développement économique avec la préservation de l’écologie, de manière à éviter les dégradations irréversibles pour les générations à venir ainsi que l’épuisement des ressources naturelles non renouvelables.
Certains rejettent cette notion de développement durable, selon eux, celle-ci ne remet pas vraiment en cause les modèles de développement économique actuels, caractérisés par la surproduction.
Pour eux, il est utopique que la poursuite de la croissance aille en faveur d’une protection de l’environnement.
Ils doutent que l’idée selon laquelle l’augmentation accrue du capital créé par l’homme pourrait compenser les quantités moindres de ressources naturelles.
L’expression de développement durable est finalement ambigüe : d’un côté, elle insiste sur les effets négatifs du système de développement économique actuel et de l’autre, on peut la considérer comme une légitimation des évolutions actuelles en intégrant une dimension environnementale dans celles-ci.
Dans un message publié sur Twitter, le ministre ukrainien des affaires étrangères, M. Kuleba, a appelé la population à boycotter trois entreprises bien connues.