La symbolique de la fleur de Lys Un peu d’histoire Au départ, la fleur de Lys est un ancien symbole des Francs.
Ceux-ci étaient originaires des Flandres et le Lys poussait en abondance sur les rives de « la Lys« .
C’est le Seigneur d’Armentières (commune située dans le Nord de la France dans la région du Nord-Pas-de-Calais) qui en fit un motif sur son blason.
Plus tard, lors de l’annexion, c’est au tour du roi de France de mettre le Lys sur son blason.
C’est ainsi que naquit la fleur de Lys qui en vérité n’en est pas une.
La représentation de la fleur de Lys La fleur de Lys est parfois représentée de différentes manières.
La plupart du temps, elle est jaune sur un fond bleu.
Un bleu azur où sont semés des Lys de couleur or ou toujours de l’azur mais avec seulement 3 Lys en or.
Cette dernière version est la version dite « moderne ».
Pierre-Barthélémy Gheusi lui donna une signification guerrière en ajoutant au Lys un morceau de javelot gaulois avec des pointes et des crochets.
Les drapeaux Le drapeau du « Trieste ancien » est sur un fond blanc auquel on a rajouté un aigle sur un fond jaune et des bandes rouges et blanches.
Le Lys se situant dans la pointe du drapeau et remontant vers l’aigle.
Le Lys est de couleur jaune.
Le drapeau semé de Lys est un drapeau sur fond bleu avec de nombreux petits Lys jaunes.
Il existe une « dérive » de ces drapeaux où le Lys est accompagné de grenouilles jaunes.
Les origines Les origines de la fleur de Lys seraient selon certaines hypothèses religieuses selon une légende.
La Légende Un ermite vivait près d’une fontaine, non loin du château de Montjoie où séjournait le couple royal.
La reine Clotilde aimait venir consulter cet ermite qu’elle considérait comme un homme pieux.
Alors qu’ils étaient en prière, un ange leur est apparu.
Il aurait alors demandé à la reine Clotilde de faire un changement sur le drapeau de son mari.
Elle devait remplacer les 3 croissants par 3 fleurs de Lys.
Les Lys devaient être de la couleur or pour briller de mille éclats.
Ce qu’elle fit.
C’est une légende extraite du livre « Genève et ses mystères.
Flâneries insolites dans l’histoire » de Pernette Rickly-Gros et Obergfell.
Laisser un commentaire