La jeunesse

La jeunesse L’amour On n’oublie jamais ses premiers émois.
Quand on est jeune et que l’on tombe amoureux, on pense que cela va durer toute une vie.
Alors forcément, le premier chagrin d’amour est destructeur.
Adulte, on se souviendra pourtant avec nostalgie de cette période d’innocence.
L’amitié L’amitié est mise sur un piédestal.

Un jeune est prêt à tout pour un ami.
Les adolescents se regroupent entre pairs notamment pour partager les activités sportives et les sorties.
C’est l’heure des confidences et des échanges complices.
L’insouciance et les idéaux Pendant que les adultes essaient de les canaliser et de les conformer à un certain moule, la jeunesse remet en question la société et ses injustices.
Les jeunes expriment des idéaux d’égalité et de liberté.
Même s’ils le font parfois maladroitement, ils ont le mérite de crier haut et fort leurs opinions.
Les aléas de l’adolescence À l’adolescence, les jeunes sont désorientés et les parents troublés par la situation.
Pendant que les premiers rêvent d’indépendance, les seconds veulent les protéger au risque de les étouffer.

Ils souhaitent plus de liberté C’est le moment de la rébellion contre les adultes et particulièrement des conflits avec les parents.
C’est aussi le moment de leur faire confiance.
Cela ne signifie pas tout leur permettre sans limites et sans autorité, mais être trop sévère complique généralement les relations.
Donnez-leur une chance.
Le pouvoir des hormones Des modifications physiques et corporelles perturbent.
Le corps des filles se féminise et la voix mue.
D’autant plus que chaque jeune n’est pas en égalité face à ses camarades.
Par exemple, certains auront plus d’acnés que d’autres, ce qui peut être difficile à gérer quand on arrive à un âge où le regard des autres a beaucoup d’importance.
La sexualité et la prévention Exprimer ses sentiments et communiquer peut être une épreuve difficile à l’adolescence.
En tant que parents, ne vous immiscez pas dans leur vie amoureuse.
Respectez leur jardin secret.
Malgré tout, c’est le moment d’aborder les risques liés à la sexualité, au mal-être, au suicide et aux conduites à risques en général.
En tant que parents, vous pourrez vous reprocher d’avoir été maladroit dans vos propos, mais ne regrettez surtout pas de ne pas l’avoir été.