Des diplômes très demandés Les grandes écoles de management ont actuellement le vent en poupe et attirent de plus en plus d’étudiants désireux de s’initier aux métiers de la finance, du commerce et du marketing.
Toutefois, face à l’abondance d’offres il est nécessaire de bien choisir sa formation.
En effet de nombreuses écoles européennes de management n’ont aucune reconnaissance par les Etats et demandent tout de même des frais de scolarité très élevés.
Un classement de référence Alors, pour ne pas gaspiller son argent, le Financial Times (célèbre journal anglo-saxon) publie chaque année un classement des meilleures écoles de management dans le monde entier.
Penchons-nous un peu sur les enseignements de l’édition 2010.
Des écoles françaises en bonne place On peut, tout d’abord, se féliciter de la place occupée par les écoles françaises.
En effet, on retrouve l’ESCP Europe à la première place.
Le caractère européen de l’école parisienne est récompensé puisqu’elle possède également de nombreux campus à l’étranger, notamment au Royaume-Uni, en Allemagne et en Italie.
La mythique HEC occupe quant à elle la troisième place, chutant d’une position par rapport à l’année dernière.
Les écoles de Lyon (EM Business School), Grenoble (Grenoble Graduate School of Business) se classent conjointement la 5è place alors que l’ESSEC de Cergy-Pontoise se place en 9è position.
Les écoles étrangères Dans le top 10, on trouve également l’Université de Saint Gall en Suisse, nouvelle venue dans le classement en 4è position.
Ainsi la London School of Economics and Political Science à la 7è place.
Enfin, pour terminer ce tour d’horizon des meilleures écoles de management en Europe, on peut citer l’Esade Business School de Barcelone (10è) et la Rotterdam School of Management (11è).
Quels critères de notation ? Le classement du Financial Times prend en compte de nombreux paramètres pour établir cette hiérarchie.
Notamment le salaire à l’embauche, la place accordée à la diversité au sein de l’école, les travaux de recherche ou encore l’ouverture à l’international.
Il ne vous reste maintenant plus qu’à bachoter pour tenter de décrocher une place d’admissible dans uns de ces prestigieux établissements.
Dans un message publié sur Twitter, le ministre ukrainien des affaires étrangères, M. Kuleba, a appelé la population à boycotter trois entreprises bien connues.