On touche beaucoup plus le ballon C’est mathématique : un ballon pour dix au futsal, un pour vingt-deux au football.
Le futsal est une excellente formation pour les jeunes footballeurs Les Brésiliens ne s’y trompent pas : Ronaldo, Ronaldinho, Juninho ou Nenê y ont longtemps joué.
Le ballon est plus facile à maîtriser Il est légèrement plus petit, mais il rebondit moins.
La première fois où un joueur pataud s’essaie au futsal, il a l’impression d’avoir fait d’immenses progrès techniques.
Moins brutal – les contacts y sont rares et les tacles prohibés – le futsal plaît aux filles N’en concluez pas, jeunes mâles pleins de testostérone, que c’est un sport de chochottes.
Les matchs sont moins longs, mais plus intenses Les deux périodes de vingt-cinq minutes valent bien, en dépense d’énergie, les quatre-vingt-dix minutes des matchs classiques.
Les rencontres sont plus faciles à organiser On peine moins à réunir dix potes pour un match de futsal que vingt-deux pour un match de football.
On reste au chaud et au sec Particulièrement appréciable dans certaines régions et en certaines saisons.
Une seule paire de chaussures Fini l’éternelle hésitation entre les crampons moulés et vissés, et les dilemmes métaphysiques à propos de leur longueur.
Le jeu est plus rapide et plus technique Pour parodier la définition que Lineker donna un jour du football, disons que le futsal est un jeu simple qui se joue à cinq contre cinq – et à la fin ce sont les Brésiliens ou les Espagnols qui gagnent.
Vous avez beaucoup plus de chances de porter un jour le maillot bleu Moins de licenciés, moins de concurrence… Dépêchez-vous, ça ne durera peut-être pas.