Ses débuts D’origine modeste, il est le fils d’un père algérien et d’une mère française.
Son père est un ex-boxeur devenu chauffeur routier.
Sa mère est mère au foyer.
Arrivé à Paris en 1989, il fait le mime pour gagner sa vie, tout en se produisant comme humoriste sur les scènes ouvertes Parisiennes, notamment au théâtre du Trévise.
Dans ses one-man show, Dany Boon campe des personnages du quotidien qui content leurs mésaventures.
En 1993, Patrick Sébastien devient son producteur.
C’est le début du succès.
L’un de ses premiers sucès met en scène un dépressif qui tente de vaincre ses terreurs, en répétant « Je vais tout va bien, je sui gai tout me plait… ».
Vie privée Dans sa vie privée, Dany est père de cinq enfants.
Il rencontre l’actrice Judith Godrèche en 1998.
Ils se marient et ont un enfant ensemble.
Ils divorcent en 2002, et Dany Boon se remarie en 2003 avec la mannequin Yael Harris avec qui il a trois enfants.
Il est à noter que Dany Boon a eu un enfant d’une précédente union.
Poursuivant sa carrière d’interprète, Dany Boon joue tour à tour dans des one man show bien sûr, mais aussi pour la télévision et le cinéma.
Le succès de « Bienvenue chez les ch’tis » Un succès phénoménal En février 2008 sort le film « Bienvenue chez les Ch’tis » qu’il a réalisé, co-écrit, et dans lequel il tient l’un des premiers rôles aux cotés de Kad Merad.
C’est un succès phénoménal, et le film bat le record d’entrées en une semaine.
Il totalise plus de 5 millions d’entrées dès la première semaine.
En quatre semaines, il totalise déjà plus de vingt millions d’entrées.
Le 6 avril 2008 , le film bat « La grande Vadrouille » qu’il détrône en tant que plus grand succès national du box office.
C’est un succès également en Belgique, Suisse, Italie, Austalie, Canada… Après « Bienvenue chez les ch’tis » En 2011 sort le nouvel opus de Dany Boon, « Rien à déclarer », qu’il réalise et dans lequel il joue l’un des rôles principaux aux cotés de Benoît Poelvoorde et Karin Viard.
Il est à noter qu’il sera à l’affiche du prochain « Astérix et Obélix ».