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10 avril 2020 11 h 25 min

Comment se passe un diagnostic in vitro ? Procédures et objectifs

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La nécessité du diagnostic in vitro Le diagnostic in vitro consiste à détecter toutes pathologies en laboratoire.
Cela suppose donc, au préalable, qu’un prélèvement soit effectue sur le patient.
Ces prélèvements peuvent être nombreux et différents, puisque toutes parties du corps pourront être analysées de cette manière.

Cette multiplication des prélèvements, mais aussi l’importance prise dans l’univers médical, a conduit notamment à la création d’un syndicat de l’industrie du diagnostic in vitro (Sfrl.
fr).
Les produits pour diagnostic se sont donc multipliés, et le développement du marché du diagnostic in vitro a permis l’essor de nouvelles techniques et méthodes.
Même si le but reste inchangé : réussir à détecter, en laboratoire, toutes anomalies invisibles en présence du patient.
Véritable auxiliaire du diagnostic plus traditionnel, le diagnostic in vitro permet donc à la médecine d’élargir ses traitements, détectant les pathologies, avant l’apparition des premiers signes cliniques et identifiables.
Le diagnostic in vitro L’objectif du diagnostic in vitro conditionne la pratique de ces examens, qui se déroule en deux temps.

D’un côté, le prélèvement de l’échantillon à examiner permettra ensuite une recherche en laboratoire, conduisant à détecter toutes anomalies.
Ainsi, il faudra dans un premier temps, procéder au prélèvement d’un échantillon du tissus à analyser.
La diversité des domaines d’action rend impossible une liste exhaustive.
Le plus courant (et connu) de ces prélèvements reste la traditionnelle prise de sang, qui sera ensuite analysé.
Le prélèvement de salive représente aussi l’acte initial, mais d’autres prélèvements plus conséquents pourront aussi se dérouler : la biopsie permettra de disposer d’un échantillon de tissus à analyser.
Une fois le prélèvement effectué, le tissu sera analysé.
En fonction de la nature du prélèvement, des méthodes spécifiques seront employées avec des équipements de plus en plus sophistiqués.
Ainsi, l’analyse de sang peut-elle être désormais entièrement automatisée.
Certains prélèvements seront analysés avec des réactifs, prévus à cet effet, et détectant certains pathologies soupçonnée en fonction de la nature du prélèvement.