Nous avons tous un faible particulier pour une race de chiens plutôt qu’une autre.
Le côté protecteur, patient et rassurant du labrador plaît beaucoup ou le caniche parce qu’il est petit et qu’on peut l’emmener partout, etc.
La liste des avantages que l’on se crée avant l’acquisition d’un chien est longue.
Mais on oublie souvent une chose importante.
La future cohabitation, car au départ, disons-le, il s’agit avant tout de se faire plaisir un point c’est tout.
Le lieu d’habitation La première des précautions est de prendre un chien en fonction de son habitation.
Un Saint-Bernard dans un appartement est une lourde aberration.
Évidemment que ce chien sera malheureux, non pas parce qu’on ne lui donnera pas tout l’amour qu’il est en droit d’attendre de ses maîtres, mais plutôt parce que quoi qu’on puisse y faire, l’endroit ne lui sera pas adapté.
Quel chien choisir ? Si vous êtes quelqu’un de très actif(ve) et que vous aimez courir, ou faire de très longues marches alors, les chiens comme le dalmatien, le colley, le labri des Pyrénées et même le basset hound qui est à l’origine un chien de chasse malgré son apparence « pantouflarde », sont des chiens qui seront heureux de partager ces moments avec vous.
Les caniches, ou le yorkshire sont généralement des compagnons idéaux pour les personnes âgées, ou pour ceux qui ne s’absentent pas trop de la maison.
Ils sont doux et affectueux, mais ce sont des chiens très « collants », ils ont beaucoup de mal avec la solitude.
Si vous absentez tous les jours, alors optez plutôt pour le lhassa apso ou le bouledogue qui même s’ils sont très affectueux et dévoués à leurs maîtres restent très indépendants.
Quand on acquiert un chien, il faut penser à ses propres déplacements (vacances ou week-end).
Vous trouverez toujours des personnes prêtes à garder votre animal à moindre coût (surveillez les journaux gratuits de votre région dès les mois de mai et juin, par exemple).