Présentation Le Diable s habille en Prada ou The Devil Wears Prada est une comédie sortie le 27 septembre 2006, et qui dure 1h50.
Le film est réalisé par David Frankel, réalisateur notamment de la série Sex And The City et du film Marley & Moi.
Pour un budget de 35 millions de dollars, le film comptabilisera près de 327 millions de recette au Box Office, c’est une énorme réussite.
// Analyse et critique Scénario : Très classique en fait, une jeune qui n’a aucun goût vestimentaire et rêve de devenir écrivain.
De son caractère ressort une grande gentillesse et une simplicité de vie.
Cette jeune femme se fait finalement embaucher – par hasard presque – comme assistante de la rédactrice en chef du plus éminent magazine de mode du moment.
Outre la jeune assistante, le scénario pousse la caricature à son paroxysme.
En effet, la rédactrice en chef est autoritaire, froide, très dure avec ses employés et en particulier avec son assistante… Voilà pour la situation initiale.
Le genre n’est en rien revisité, et c’est encore une fois le même schéma qui s’impose à nous.
De surcroît, le déroulement de l’intrigue s’inscrit là encore dans ce que l’on a l’habitude de voir.
En quelques mots : La gentille assistante devient fan de mode, une parfaite assistante, et son boulot l’accapare tellement qu’elle en brise sa vie sociale.
Propulsée au-delà de ses espérances, elle prend conscience que le monde de la mode est perfide et machiavel, et en revient à ses premiers amours en quittant ce milieu, trouvant un emploi de journaliste dans un petit journal intègre et relance son couple.
Ainsi, tout est bien dans le meilleur des mondes, pour ne pas citer Voltaire.
Réalisation : C’est un film très hollywoodien, classique et sans surprise.
En fait, la réalisation reprend tout ce qui marche sur ce genre de film : une bande son et des plans qui créent une bonne dynamisme.
Distribution : Anne Hathaway nous offre une belle performance et joue parfaitement bien le rôle de la jeune naïve propulsé dans un monde de requin.
On retrouve également plusieurs acteurs de série, comme Simon Baker – The Mentalist –, que l’on voit dans un rôle tout autre et qui sait se démarquer du reste du casting, et Adrian Grenier – Entourage –.
Mon avis Le film ne déçoit pas, il reprend tous les trucs qui marchent dans ce genre de films mais de façon agréable et drôle tout en restant émouvant.
Dans un message publié sur Twitter, le ministre ukrainien des affaires étrangères, M. Kuleba, a appelé la population à boycotter trois entreprises bien connues.