L’organisation des soins palliatifs Les soins palliatifs sont des soins pratiqués dans une approche globale d’une personne atteinte d’une maladie grave terminale ou évolutive.
Leurs objectifs consistent à soulager la douleur physique et des autres symptômes, ainsi que de prendre en compte la souffrance psychologique, sociale et spirituelle.
Les soins s’adressent autant au malade qu’à sa famille, et peuvent être réalisés à l’hôpital ou à domicile.
Les soins palliatifs ne veulent pas dire forcément accompagnement de fin de vie, ce n’est pas un mouroir.
Si les soins palliatifs accompagnent en fin de vie, c’est pour respecter la dignité de la personne malade, et de la délivrer de ses soucis qui peuvent se poser, notamment pour ses proches.
Les soins sont interdisciplinaires, ils considèrent le malade comme un être vivant et la mort comme un processus naturel.
Le médecin évite les traitements déraisonnables, et se refuse de provoquer intentionnellement la mort (pas d’euthanasie).
L’aspect historique et législatif Les premiers soins palliatifs apparaissent en Angleterre, dans les années 1970.
Il faudra attendre vingt ans pour que les soins palliatifs soient proposés en France.
Au départ, leur approche reste curative.
Peu à peu, les soins palliatifs vont se mettre en place, avant la phase terminale de la maladie.
Aujourd’hui, les soins palliatifs interviennent à n’importe quel stade de la maladie, à la demande du patient ou du corps médical.
Ils sont un droit, leur but n’est pas de guérir mais de soulager.
La loi Leonetti a été une loi importante dans l’approche palliative.
Cette loi a été mise en place, après l’affaire Vincent Humbert, un jeune homme tétraplégique qui ne pouvait que cligner des yeux.
Sa mère, puis un médecin l’ont euthanasié pour le délivrer de ses souffrances.
La loi Leonetti met l’accent sur : Chaque personne, en état d’exprimer sa volonté, peut refuser des soins qui mettent sa vie en danger.
Le consentement du patient, pour chaque acte médical, doit être recherché.
Le médecin ne peut pas aller à l’encontre de la décision de la personne Dans toute situation, le médecin doit s’assurer de la qualité de fin de vie du patient, par les soins palliatifs et la sauvegarde de la dignité du patient.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.