Son parcours Marie–Laetitia est née en 1978.
Dés son plus jeune âge, elle est naturellement attirée par les chevaux qui deviendront pour elle une véritable passion.
C’est donc tout naturellement qu’elle commence à travailler à Maisons-Laffitte où elle côtoie les plus grands entraîneurs comme Frédéric Danloux, Jean-Paul Gallorini ou encore Jehan Bertran de Balanda.
Le talent de Laetitia Marie est enfin reconnu en 2000 lorsque Vieux Beaufai, le cheval dont elle s’occupe à temps plein, remporte le Grand Steeple-Chase de Paris.
Deux séjours aux États-Unis viendront mettre fin à sa formation avec de nouveaux grands noms du monde hippique : Leo O’Brien, Jonathan Sheppard ou encore Christophe Clément.
Marie–Laetitia Mortier s’illustre également en obstacle dès la saison 2008-2009 en remportant une première victoire avec un cheval nommé Misérable.
Elle termine également deuxième du Fleuret et du Jean Stern.
Sa situation actuelle Reconnue pour son savoir-faire et sa détermination par les professionnels, Marie–Laetitia continue d’entraîner des chevaux avec une réussite en perpétuelle évolution.
Elle gère entre 15 et 25 chevaux de tous niveaux à Maisons-Laffitte, à partir du débourrage.
Certains chevaux sont cependant pré-entrainés en province en collaboration avec d’autres professionnels comme Guillaume Lassaussaye, Marc de Montfort, Alban Chevalier du Fau ou encore Frederic Ouvry.
Cette méthode est suffisamment efficace et permet des économies considérables.
Dans tous les cas, Marie–Laetitia s’assure du savoir-faire de ses collaborateurs et leur fait entièrement confiance aussi bien pour les soins que pour l’entraînement.
Le bien-être de ses chevaux est primordial, d’où la mise en place de périodes de repos et de décompression.
Chaque cheval est entraîné dans le respect de l’animal en fonction de son niveau, de ses besoins et des souhaits de son propriétaire.
Finalement, c’est avec les plus belles valeurs du métier et un caractère bien marqué que Marie–Laetitia Mortier a su s’imposer parmi les plus grands professionnels du monde hippique.
Ce n’est pas un hasard si ses chevaux sont capables de remporter les plus grandes courses, et ce n’est pas l’Institut Saint-Dominique qui dira le contraire.
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