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9 avril 2020 20 h 10 min

L'hypocondrie

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L’hypocondrie appelée plus communément malade imaginaire se décrit précisément par la peur d’attraper des maladies ce qui en devient une angoisse perpétuelle.
L’hypocondriaque à la phobie de toutes les maladies, mais est plus centrée sur les maladies dites mortelle, telle qu’AVC (Accident Vasculaire Cérébral, rupture d’anévrisme, cancer, voir VIH).

La phobie commence par faire penser à la personne qu’elle est atteinte d’une maladie et en à tous les symptômes (ce qui est vrai dans l’absolue, mais faux évidemment pour le corps médical) ; Ex : pour une rupture d’anévrisme la personne concernée ressent tous les symptômes que lors d’une vraie maladie c’est à dire maux de tête violents, nausée voir vomissement, vertiges, sifflements aux oreilles.
Sur le moment même, ces symptômes sont réels et s’amplifient lorsque le patient s’angoisse, ce qui amène à une crise d’angoisse, voire spasmophilie, voire tétanie.
Le plus souvent, les hypocondriaques consultent très souvent leurs médecins et se rendent aux urgences pour rien évidemment, le fait de les rassurer sur le moment ne les aide pas, car même s’ils ne sont pas malades à proprement dit, pour le corps médical, ils le sont psychologiquement.

Cette maladie peut avoir de mauvais effets pour la vie de tous les jours, refus de se rendre à son travail, isolement, psychiatrie.
Le plus souvent, cette maladie est bénigne et il suffit de trouver le bon remède, ou la bonne méthode pour s’en sortir.
Vu que c’est une maladie psychologique, le plus simple est de consulter pour trouver d’où provienne ces angoisses et surtout trouver comment les apaiser, car la peur d’attraper une maladie n’est pas le vrai problème, mais se caractérise comme tel, comme une boulimique qui comblera son vide en se « remplissant », l’hypocondriaque se « remplis » du réconfort des gens.
Chaque hypocondriaque est différent et seul un professionnel peut prendre en charge les médicaments qui lui conviendront.
En règles générales, un bon traitement en parallèle d’une bonne thérapie arrange les choses, mais l’on reste quand même hypocondriaque à vie.