Les enfoirés 2011

Le spectacle C’est au coeur de la Camargue qu’un hôtel de la Grande Motte vient d’héberger la célèbre troupe des Enfoirés initiée par Coluche.
Les artistes entamaient en effet une série de 7 concerts dans la ville limitrophe de Montpellier et sa nouvelle salle l’Aréna, fraîchement inaugurée en septembre dernier par Indochine et pouvant accueillir jusqu’à 14000 spectateurs.

« Dans l’oeil des Enfoirés » est donc le dernier spectacle proposé par les fidèles de Coluche tous les soirs du mercredi 26/01/2011 au lundi 31/01/2011, avec une prestation supplémentaire dimanche après-midi.
C’est d’ailleurs ce jour là que l’enregistrement TV a commencé.
Au programme Au total, 5 heures de spectacle réparties ainsi : A 13h : projection d’un documentaire sur l’action des bénévoles au sein des Restos du coeur, suivi d’extraits des anciens spectacles.
– A 13h30 : la salle est ainsi en ébullition pour accueillir la quarantaine d’artistes entrant, parmi la foule sur la chanson « Another day in paradise » de Phil Collins.
– Ils enchaînent ensuite jusqu’à 18h avec « L’Assasymphonie » de la troupe Mozart, « Comme d’habitude » de Claude François, « Ecris l’histoire » de Grégory Lemarchal, « La montagne » de Jean Ferrat, « Comme des enfants » de Coeur de pirate… sans oublier les incontournables medleys sur les sosies, la boîte de nuit, etc.

– Toute l’après-midi, les minis sketchs de Mimie Mathy, Liane Foly ou Kad Mérad ponctuent également le spectacle.
Lors de la retransmission sur TF1, le téléspectateur ne devinera jamais que le show dure en fait 2 heures de plus.
En effet, chaque chanson est suivie d’une pose permettant le changement des décors et costumes.
Et c’est là que les gens présents le jour « J » vivent un second concert, puisque Jean-Jacques Goldman, Michael Jones, Patrick Bruel, Jean-Louis Aubert ou encore Grégoire interviennent avec divers succès pour les faire patienter.
Ainsi, si le téléspectateur risque de déplorer l’absence de Francis Cabrel, Yannick Noah ou Marc Lavoine, il ne manquera pas pour autant d’apprécier ce moment de télévision jusqu’au final : « J’ai demandé à la lune », empruntée à Indochine.