Comment ne pas parler du Shiatsu, médecine japonaise issue de la médecine traditionnelle chinoise, lorsque l’on évoque les médecines non conventionnelles.
C’est simple aujourd’hui il faut en parler.
Si on en croit l’étymologie et donc la racine grammaticales du terme, le Mot Shi-atsu se divise en deux parties distinctes et en même temps liées.
Tout d’abord le mot shi et ensuite le mot Atsu qui désignent à eux deux les designations » Doigts-Pressions ».
C’est pourquoi il est intéressant de parler de médecine de contact pour énoncé le Shiatsu.
De plus, il faut savoir que le Shiatsu traditionnel s’est répandu par la suite en diverses variantes, elles-mêmes créées par de nouveaux maitres, devenant la référence dans le domaine du massage traditionnel asiatique.
A l’origine le Shiatsu est une approche corporelle japonaise, issue de la médecine traditionnelle chinoise.
Ce dernier fut reconnu par le Ministère Japonais de la Santé comme une médecine thérapeutique et ensuite par l’Union Européenne comme l’une des 8 méthodes alternatives de médecines non conventionnelles dignes d’intérêt.
En cela, Bernard Bouheret, créateur de l’AIST (ASsociation Internationales du Shiatsu Traditionnel) propose a tous public de venir suivre des cours ou bien suivre de plus près l’art du Shiatsu dans diverse formation.
(Shiatsu-asit.
org).
Alors même si effectivement le Shiatsu est sur la majeure partie du continent asiatique considéré comme une médecine et non un moment de détente des plus communs, de nombreux maîtres ou disciple de maître se séparent de l’Asie afin d’exporter cette pratique en Europe.
Mon avis : Libre à chacun d’essayer un tel loisir, mais pour une somme dérisoire je vous préconise d’associer votre passion avec l’Organisme de Bernard Bouheret afin de devenir un métronome en la matière.
Ou bien si votre seul et unique but et de savourer, d’apprécier un moment de détente hors du commun, de rassembler toutes vos petites économies et de vous rendre directement de chez vous chez un Maître praticien.