Le musée d'Orsay : qu'y découvre t'on ?

L’histoire du musée d’Orsay Le musée d’Orsay se situe au quai d’Orsay, sur la rive gauche de la Seine, dans le VIIe arrondissement.
Il a remplacé l’ancienne gare d’Orsay, c’est pour cela que l’on peut lire le nom de grandes villes nationales sur la façade du musée.

Inauguré en 1986, le musée s’étend sur une superficie de 57000m2.
Le musée accueille chaque année plus de 300000 de visiteurs venus du monde entier.
L’adresse exacte du musée est 62 rue de Lille à Paris.
Le musée possède également un site internet : Musee-orsay.
fr.
De nombreuses œuvres d’art Le musée comporte plus de 4000 œuvres.
On y trouve principalement des arts décoratifs, des sculptures et des peintures.
La collection du musée d’Orsay a été créée en piochant des œuvres dans trois musées différents : le Musée du Louvre, le musée du jeu de Paume et le Musée national d’art moderne.
Le musée expose de nombreuses sculptures appartenant à différents mouvements artistiques comme le néoclassicisme, le réalisme ou le symbolisme.

Il détient également un grand nombre de sculptures d’Auguste Rodin comme « Monument à Balzac » ou « Porte de l’Enfer ».
Au niveau de la peinture, le musée détient la plus grande collection de peintures impressionnistes et postimpressionnistes.
Voici une liste de grands artistes exposés au musée d’Orsay, avec entre parenthèses leur mouvement artistique et en italique un ou plusieurs tableaux exposés au musée : Claude Monet (impressionnisme), « La Pie » Édouard Manet (impressionnisme), « Le Déjeuner sur l’herbe », « Le Balcon », « Portrait d’Émile Zola » Edgard Dégas (impressionnisme), « L’absinthe » Paul Cézanne (impressionnisme), « Les Joueurs de cartes » Pierre-Auguste Renoir (impressionnisme), « Le bal du moulin de la Galette » Vincent Van Gogh (naturalisme), Autoportrait, « La Chambre de Van Gogh à Arles » Gustave Caillebotte (réalisme), « Raboteurs de parquet », « Vue de Toits » Gustave Courbet (réalisme), « L’atelier du peintre », « Un enterrement à Ornans » Douanier Rousseau (peintre naïf), « La Charmeuse de serpents »