Comment au XXIe siècle retrouver le sens du bonheur et des joies simples ? Dans un monde noyé d’informations et de nouvelles technologies, les jardins potagers font un retour impressionnant.
Comment analyser un tel succès ? C’est simple, il s’agit d’une volonté farouche de se réconcilier avec l’essentiel : la Terre.
La désillusion d’une époque De nos jours, les jeunes générations paraissent désabusées et sceptiques sur le devenir de notre modèle économique.
Les gloires et grandeurs passées ne sont plus, l’espérance fait désormais parti du souvenir et l’inquiétude monte.
Nous lisons à longueur de journée des informations toujours plus terribles les unes que les autres et notre quotidien s’enracine dans la nouvelle formule « métro-recherche de boulot-dodo ».
Mais comment diable sortir de ce scepticisme ambiant ? Bref, comment retrouver joie et bonne humeur ? Le recours aux valeurs sûres Voici une piste à explorer pour les amoureux de la nature piégés en zone urbaine.
L’idée est simple : ayez recours au potager, au petit lopin de terre, aux jardins familiaux et ouvriers.
D’après les spécialistes, nos concitoyens font beaucoup de bébés car ils souhaitent se replier sur la sphère « famille » pour espérer avoir un peu de bonheur.
Mais pourquoi ne pas tester carrément le retour aux sources et se la jouer façon « Nicolas le jardinier » ? Le bonheur est dans le pré Mettez vos gadgets inutiles de côtés, éteignez vos portables et enfilez vos bottes, tabliers et chapeaux de paille.
Offrez vous le luxe d’une activité physique quasi-gratuite alliée aux récoltes de produits bio.
Vivez aux rythmes des saisons, prenez le temps de retourner la terre, de semer vos graines, d’arroser et de voir vos plants pousser.
Appréciez les senteurs de la fraise gorgée de soleil et échangez, le temps d’un café avec votre voisin jardinier, quelques graines de betteraves.
Vous verrez, le temps d’un après-midi ensoleillé, entre un rang de haricots et un autre de carottes vous vous sentirez bien vivant et prendrez enfin conscience que le monde qui vous entoure n’est pas à vivre rivé sur des écrans de télé ou d’ordinateurs, mais bel et bien ici et maintenant, au potager.
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