Avant la puberté Jusqu’à environ 10 ans, les enfants grandissent, s’affinent.
Les organes sexuels, et les zones cérébrales relatives restent inactifs pendant cette première partie de leur vie.
L’éveil Arrivé à un certain degré de développement, l’organisme et le cerveau se répondent, et par un procédé chimique libère des hormones.
Les ovaires et les testicules sont stimulés et commencent à produire de la testostérone et des oestrogènes.
Sous leurs influences, le corps et les organes sexuels se modifient.
La testostérone Hormone mâle par excellence, elle est présente depuis la forme embryonnaire jusqu’à la vie adulte.
C’est elle qui conditionne les traits et caractères masculins Chez la fille La puberté déclenche les premières règles.
Des modifications de son corps sont visibles dès l’âge de 11/12 ans (apparition des seins qui ne prendra sa forme définitive que vers 15 ans, duvet sur le pubis).
Le corps continue sa lente et longue féminisation, tant au niveau des courbes (hanches) qu’au niveau des organes internes (utérus, ovaires).
Autant la testostérone marque les garçons, les œstrogènes féminisent la fillette.
Les formes deviennent généreuses.
À un moment, où la petite fille souhaite avoir le corps de son héroïne.
Les régimes ne font pas bon ménage avec la révolution hormonale qui a lieu à l’intérieur, c’est dangereux.
Chez le garçon Le symbole de la puberté chez le garçon est l’apparition de la virilité (premières érections et éjaculations).
Leur musculature se développe, des poils apparaissent sur son visage, sa voix mue.
Les organes sexuels du jeune garçon croissent (testicules, scrotum, puis pénis) et les poils envahissent les zones pileuses.
L’acné Plus grave chez le garçon que chez la fille, il est l’un des signes, visible et dérangeant, de la puberté.
Les traitements locaux sont préférés à tout autre, afin de ne pas mettre l’organisme en conflit dans cette période transitoire et hormonale.
La puberté peut apparaître de façon précoce ou tardive.
Une consultation médicale peut aider à poser un diagnostic, mais en général, la nature fait bien les choses, depuis des milliers d’années.
Être conscient de ce désordre hormonal permet incontestablement de supporter les humeurs de nos jeunes ados.