L’Index Astartes, qu’est-ce que c’est ? L’Index Astartes est un recueil en quatre volumes reproduisant la plupart des articles des concepteurs du jeu de figurines Warhammer 40 000 (ou Warhammer 40K) publiés initialement dans le magazine de jeux de rôle White Dwarf.
Ces articles présentent l’histoire et les particularités des différents « chapitres » de combattants, appelés les « Space Marines ».
Dans l’univers Warhammer 40K, ces combattants d’élite ont en charge la protection de l’ « Imperium », l’empire humain menacé par des forces extérieures.
Qu’apporte cet Index à la compréhension de Warhammer 40K ? L’Index permet aux débutants de bien comprendre la formation de ces troupes d’élite, leur genèse, les différents chapitres existants et les histoires de chacun de ces chapitres.
Les habitués de Warhammer 40K apprécieront d’en apprendre toujours plus sur les Space Marines et de prolonger l’univers de leur jeu par la lecture de ces articles.
Enfin, l’intérêt de ces recueils réside également dans l’aspect pratique puisqu’il regroupe presque tous les articles éparpillés dans les différents numéros de White Dwarf.
Structure de l’Index L’Index Astartes I Le premier volume de l’Index contient les articles destinés à la compréhension de la création et de la vie des Space Marines.
Les articles retracent également l’histoire des cinq premières légions de Space Marines, sauf la deuxième, une légion disparue.
L’Index Astartes II Publié en janvier 2003, il regroupe les articles concernant les sixième, septième, huitième et neuvième légions et plusieurs autres chapitres.
Il évoque également les Chapelains des légions.
L’Index Astartes III Le troisième recueil, publié en novembre 2003 présente les cinq légions suivantes (de dix à quinze, sauf la onzième, disparue).
L’Index Astartes IV Enfin, le dernier recueil, publié en 2004 présente six autres légions, ainsi que les tanks des Space Marines.
Cependant, si les quatre volumes regroupent la plupart des articles, certains inédits ne se trouvent que dans le magazine White Dwarf, avis donc aux collectionneurs.
Laisser un commentaire