A la petite école, le « système D » L’école primaire est le premier endroit où l’on se familiarise avec les mathématiques.
A cet âge, il est tout à fait normal de compter avec ses doigts pour additionner ou soustraire.
Après tout, les premiers hommes utilisaient leurs doigts aussi ou bien des bâtonnets.
Ce « système D » a toujours bien fonctionné, car il permet de visualiser le concept des nombres.
Autant l’utiliser aujourd’hui encore que l’on soit petit ou grand, avant de passer à la vitesse supérieure.
Une fois le premier « contact » établi avec les chiffres, il faut passer au par-cœur et apprendre ses tables d’addition comme de multiplication.
Lorsqu’on les connaît bien, les tables nous servent toute la vie et permettent d’effectuer des calculs de façon beaucoup plus rapide.
Apprendre ses cours et faire ses exercices permet ensuite de s’entraîner, mais on peut aussi faire les maths en s’amusant, en se lançant, par exemple, de petits défis en famille pour savoir qui répondra le plus vite.
Des trucs et astuces Ce sont souvent de petits détails qui provoquent des angoisses et font détester les maths, mais avec une astuce, on se prend vite au jeu et la satisfaction est grande.
Pour additionner 9 à un chiffre, il est plus facile d’ajouter 10 puis de retirer 1.
Idem pour une soustraction.
Les pourcentages sont plus faciles à calculer en les visualisant.
Moins 25% est en réalité le quart (ou la moitié de la moitié).
C’est pratique pour les soldes.
Enfin, il ne faut pas hésiter à laisser libre cours à son imagination.
En effet, lorsque l’on aborde les nombres relatifs où l’on doit soustraire ou additionner des chiffres négatifs, il ne faut pas rompre avec la logique pure et dure.
En cas de besoin d’une aide en mathématique, un(e) jeune voisin(e) peut parfois débloquer les choses grâce à un contact amical hors du cadre scolaire qui motive souvent.
Des sites pour les maths gratuits comme Mathenpoche.
sesamath.
net permettent également de s’exercer sans avoir peur de se tromper ni d’être noté.
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