Cette licence en alternance se décompose en 15 semaines de cours, 33 à 34 semaines en entreprise.
C’est donc un rythme avantageux pour l’entreprise.
La formation se détoure en contrôle continue.
Le principal problème rencontré par les élèves est que l’interrogation sur « la matière » arrive après avoir fait un cours disposant d’une 40aines de pages ou d’une centaine de diapositives PowerPoint, autant dire que si l’élève n’est pas assidu dans ses révisions l’examen après les 4 ou 5 séances sera rude.
Parmi les différents thèmes abordés nous avons : Métrologie.
Qualité.
Sûreté nucléaire.
Traitement des eaux.
Filtration Industrielle.
Traitement de donné.
Écriture de cahier des charges.
Programmation avec le logiciel LabVIEW.
Conduite de projet.
Anglais, etc.
Ces cours se déroulent en générale sur des demi-journées, ce qui entraine des blocs de 3 à 4 heures.
Certains sont de « vrais » professeurs, d’autres des intervenants travaillant par exemple pour la RATP, le LNE (Laboratoire Nationale d’Essais).
En parallèle, vous travaillerez donc dans une société devant aborder de préférence la métrologie et/ou la qualité.
Une mission devra vous être confiée pour la durée de votre stage et vous devrez définir d’un projet pour l’entreprise qui vous prendra environ 150h (soit 3 semaines).
Ce projet devra être bien distinct de la mission que vous aurez à effectuer au quotidien.
Suite au projet il y aura une présentation orale pour l’examen dans le courant des mois de mai à juin et à la fin du stage une seconde soutenance pour présenter sa mission.
(Avec écriture de rapport dans les deux cas.
) Autant dire que ce n’est pas une année de repos, mais au contraire une année où il faudra s’accrocher, et plus particulièrement si vous souhaitez poursuivre en master.
Et pour finir, après ce bref aperçu, les déceptions chez les élèves sont grandes, beaucoup n’auraient pas suivis cette formation s’ils avaient eu connaissance de tous les détails.
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