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31 mars 2020 10 h 50 min

Tourisme au Japon : les dangers à éviter

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Catastrophes naturelles au Japon Les catastrophes naturelles sont connues au Japon.
Il faut donc être vigilent.
Le site du Ministère des Affaires étrangères, Diplomatie.
gouv.
fr, rubrique « Conseils aux voyageurs », dispose de tous les conseils utiles.
Les mois de mai à octobre sont marqués par des typhons qui peuvent parfois amener de très fortes pluies continues.

Consultez la météorologie japonaise, qui vous informera de façon précise.
Que voir au Japon et quoi éviter ? Annuler votre voyage au Japon ? Le Quai d’Orsay autorise le tourisme au Japon depuis le 13 mai 2011, et l’Organisation Mondiale de la Santé ne donne aucune restriction (Who.
int (Hac-Crises-Jpn-Faqs-Fr)).
Il est par ailleurs déconseillé de se rendre dans les préfectures de Miyagi, Fukushima, Ibaraki et Tochigi, mis à part pour voyages d’affaires ou raisons personnelles.
Les agences de voyage à la carte au Japon ne manqueront pas pour indiquer les sites touristiques du Japon lors d’un séjour au Japon.
Le tourisme à Tokyo et dans le reste du Japon n’est pas déconseillé.
L’Office National du Tourisme Japonais et Yokoso Japan répondent à vos questions (Tourismejapon.

fr; Japantravelinfo.
com).
Radioactivité nucléaire La radioactivité mesurée par l’IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire) ne présente pas de risques pour la santé.
Toutefois, si vous êtes inquiets, suite à votre présence au Japon depuis le 11 mars 2011, vous pouvez vous faire recenser sur ce questionnaire en ligne, Voozanoo.
invs.
sante.
fr (Japon2011-Questionnaire-Scripts), et vous serez recontactés par l’Institut de veille sanitaire dans le cas où un suivi serait lancé.
S’alimenter au Japon L’IRSN affirme que la viande, le lait, les produits laitiers, les légumes et l’eau ne présentent actuellement aucun risque pour la santé au Japon, y compris dans les préfectures exposées aux retombées radioactives.
La concentration de césium et d’iode 131 est en constante diminution, dans la nourriture originellement contaminée et dans l’eau de mer.
Mais les pousses de bambou, feuilles de thé et champignons shiitaké de la préfecture de Fukushima, présenteront à l’avenir des mesures au-dessus des standards (voir le rapport du 25 mai 2011sur Irsn.
fr).
Pour les courses quotidiennes, se procurer des aliments d’origines variées ne fera pas augmenter les doses habituelles.
Trouvez d’autres réponses sur le site du lycée franco-japonais de Tokyo.
Pour les sushis, la contamination étant plus lente par l’eau que par l’air, il faut surveiller les mesures au fur et à mesure, ou encore leur interdiction de circulation par les autorités japonaises.