Le métier de traducteur, une vocation Première chose, possédez-vous une quelconque passion pour une langue, car le métier de traducteur a comme base la passion de la langue étudiée ? Si vous faites ceci pour l’argent, cela n’est pas très intéressant.
De plus, avoir une passion implique un plus gros investissement d’étude, et permet parfois des facilités.
Comment fonctionnent les traducteurs ? Ce ne sont pas des gens qui prennent des documents en français et vont sur des sites de traduction pour les traduire et être payés, sinon ils ne serviraient à rien.
Ce sont des personnes qui travaillent pour une société de traduction, ou bien en indépendant.
Ils peuvent être payés au mot ou au document.
C’est un travail assez aléatoire, mais très intéressant.
Si le métier de traducteur en français vous intéresse, veillez à connaître la langue sur le bout des doigts.
Plus vous êtes bon, meilleurs sont vos chances d’acquérir une très bonne notoriété et plus de clients.
Vous pouvez aussi vous spécialiser dans un domaine en particulier de la langue.
Voulez-vous être expert dans la traduction de spécification technique, pour le milieu industriel, ou connaître la langue en général ? Chaque choix implique une direction choisie, dans un milieu choisi.
Etre traducteur en français, c’est se former quotidiennement aux nouveautés de la langue.
Si vous avez appris la langue dans les années 70, soyez-sûr qu’il y a eu de petites modifications.
Ce métier est-il permis à tout le monde ? Tout le monde peut y arriver, à condition de s’en donner les moyens.
Comme dit plus haut, ceux qui ont une passion certaine pour la langue française auront plus de facilité.
Mais une chose est sûre : tout le monde devra travailler le français pour espérer être le meilleur dans ce domaine.
On peut croire que ce métier a tendance à disparaître à cause des sites de traductions, mais il faut savoir qu’un traducteur sait beaucoup plus de choses qu’une machine, et saura mieux reformuler certaines phrases.
Dans un message publié sur Twitter, le ministre ukrainien des affaires étrangères, M. Kuleba, a appelé la population à boycotter trois entreprises bien connues.