L’heure du bilan D’après des études approfondies par les spécialistes et la PNUE (Programme des Nations Unies pour l’Environnement) c’est plus de 30% des réserves qui ont aujourd’hui disparu.
(Chiffres constatés en mai 2010) La pêche massive détruit les espèces d’autant plus qu’elle empêche par son trop grand trafic la reproduction.
Il n’y a pas de reconstitution possible pour les poissons.
Les bateaux sont en surnombre comparés aux ressources de poissons réelles, notamment dans la flotte européenne.
Il est aussi intéressant de noter que tout cet attirail est subventionné par Bruxelles… La flotte a certes réduit dans les océans européens depuis quelque temps, mais pour la seule raison de sa délocalisation autour des pays en voie de développement comme les côtes africaines, déroutant la pêche traditionnelle et nécessaire aux peuples locaux.
Les conséquences à venir Il s’agit d’un problème environnemental, pour la survie des espèces, mais aussi nutritionnel.
Dans certains pays, le poisson est le seul apport en protéine et constitue l’aliment de base de ces populations, souvent en sous-développement.
La disparition des poissons, comme toute autre espèce, engendrait alors une grosse faille dans l’écosystème et perturberait grandement l’équilibre biologique de toutes les mers et la chaîne alimentaire comme nous avons pu le signaler précédemment.
Ce serait une véritable catastrophe.
D’ici 2050, il se pourrait qu’il n’y ait plus aucun poisson en mer ! Les solutions Il est aujourd’hui encore possible d’empêcher ce désastre.
Certains ont déjà entrepris ce chemin en instaurant des zones protégées qui, espérons-le, seront de plus en plus nombreuses.
Dans ces zones, la pêche est soit activement contrôlée et parfois même interdite.
Les études prouvent que la biodiversité de ces zones s’est renouvelée même si cela reste encore insuffisant.
Il serait également raisonnable de stopper le chalutage, une technique dévastatrice en eau profonde, responsable d’une grande partie de gâchis et de sur capture.
Avec ce type de pêche, tous les types de poissons et autres espèces marines se retrouvent coincés dans ces grands filets et finissent par être relâchés, morts, car ils n’étaient pas destinés à la pêche.
Enfin, à notre échelle, nous pouvons faire un petit geste pour parer ce fléau; surveiller la provenance et les méthodes de pêche des poissons que l’on peut trouver en grande surface et éviter les espèces gravement menacées d’extinction.
Il est possible de consulter cette liste de poissons sur Internet : Consoglobe.
com.
Dans un message publié sur Twitter, le ministre ukrainien des affaires étrangères, M. Kuleba, a appelé la population à boycotter trois entreprises bien connues.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.