Après Paris, elle est la ville au patrimoine le plus riche, avec 140 monuments classés « historiques » : ravissement pour les passionnés d’art en général; on y découvre notamment l’Atelier de Paul Cézanne, la fondation Vasarely, le festival de la BD.
Amateurs de grands espaces, il faut aller à 15km à l’Ouest, où se dresse la majestueuse montagne Sainte-Victoire : «la» montagne de Paul Cézanne.
En campagne, on peut s’arrêter prendre un verre au Tholonet, et arriver jusqu’au Château de Vauvenargues, acheté en 1958 par Picasso, lequel est enterré dans le parc.
Enfin, on peut prendre la route «des Alpes», traverser le village de Puyricard, arriver à Rognes, monter jusqu’au «Foussa», vestiges de l’ancien village depuis le séisme de 1909, terminer la boucle au Puy-Sainte-Réparade, monter jusqu’à la chapelle, et se perdre dans le panorama.
Aix-en-Provence possède une grande richesse culinaire, avec une cuisine provençale et méditerranéenne caractérisée par l’importante utilisation de produits frais.
Parmi les 300 restaurants de la ville, certains établissements sont à ne pas manquer, tels que «Les 2 frères», «Le clos de la Violette», «La Chimère Café», ou encore «Chez Mitch».
La réelle spécialité de la ville, toutefois, est une confiserie connue sous le nom de «calissons d’Aix», depuis le XVIIe siècle.
Aix-en-Provence compte environ 150000 habitants, mais elle voit sa population doubler à deux reprises dans l’année : En septembre, avec l’arrivée des étudiants, car Aix est une ville très universitaire, comptant une faculté de droit très renommée, une faculté de Lettres et Sciences, représentée à travers «L’Université de Provence», aboutissement de 6 siècles de tradition littéraire et scientifique, ainsi qu’une faculté de théologie réformée et un «American Center» qui accueillent chaque année de nombreux étudiants.
En période estivale, avec le passage des touristes.
Aix-en-Provence séduit chaque année par son dynamisme : une ville de fête, très animée, une ville résolument «tendance».