Affaire de consentement dans un cas particulier Tout le problème aux yeux de la foule sera de savoir prouver le non consentement.
Afin que l’on vous croit.
Dans l’absolu, on doit donner le droit à l’individu à choisir.
Le fait d’avoir consenti : soit autorisé, accepté que quelque chose se fasse ne veut pas dire qu’on avait le choix.
Un jour ou l’autre, on a pu accepter par laxisme, par ignorance, par bêtise, par lâcheté, par peur, ou bien même par surprise…, etc.
Il faudra donc prouver l’absence de liberté en cet instant.
L’injustice dans un viol Le dessein du premier a fait irruption, sans son consentement, dans le domaine où était affirmée la volonté de l’autre ; il a détruit ou blessé son corps, ou bien il a réduit à son propre service les forces de ce corps au lieu de les laisser au service de la liberté de celui dont il se sert.
Cette invasion dans son domaine privé est bien connue sous le nom d’injustice.
Injustice et pouvoir L’injustice se manifeste sous deux formes, la violence et le stratagème ; qui forment un tout.
User de violence c‘est s’aider de l’enchainement des causes physiques.
Empoigner, renverser, immobiliser, compression, pour arriver à ses fins.
Si l’on ruse, on s’aide de l’enchainement des motifs.
L’illusion de liberté ou de séduction, la recherche de jouissance, l’adoption d’une interprétation par projection, l’affirmation d’un dirigeant de la nature ayant agencé ces moyens (proposer de l’initiation sexuelle), la recherche des honneurs, l’invention de pouvoirs.
Tout ceci n’est que la loi même de causalité reflétée dans l’intelligence ! Tous ces enchainements pouvant aboutir à un délire.
Alors on pourrait terminer ainsi : dans tout acte quel qu’il soit, l’information est devenue un droit, une obligation morale, le libre-arbitre aussi en matière de consentement.
Et la décision appartient en dernier ressort à la personne.
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