Le produit Effaclar gel moussant purifiant est un produit de la marque Laroche Posay connue pour son sérieux.
Il s’agit d’un gel nettoyant et démaquillant pour peaux grasses.
Il est présenté en flacon de 200 ml au tarif de 10,60€ en pharmacie et parapharmacie.
Il est composé d’eau thermale, sans savon, sans colorant, sans alcool et sans paraben, mais ce n’est pas un produit bio.
On y trouvera par exemple du zinc, du sodium et du glucose.
À noter le PH acide de 5,5 qui ne conviendra pas aux peaux très fragiles.
(Prix constaté en août 2011).
L’application Il est conseillé d’appliquer un peu de ce gel matin et soir sur le visage humide en faisant bien mousser.
On masse légèrement la peau, en insistant bien sur la zone T : visage, nez, front.
Ensuite, on rince bien la totalité du produit à l’eau claire.
L’efficacité À court terme, le produit de Laroche Posay Effaclar démaquille et nettoie en procurant l’agréable sensation d’une peau nette et fraiche.
Il désincruste en profondeur en éliminant l’excès de sébum accumulé pendant toute la journée ou la nuit.
On obtient donc une peau fraiche, non grasse avec une diminution des imperfections.
À long terme, et pour un usage quotidien, ce gel affine le grain de la peau et purifie sensiblement la peau du visage.
Les imperfections sont traitées en profondeur.
La gamme complète La gamme Effaclar propose une dizaine de produits pour le traitement des imperfections et le bien-être de la peau.
En association avec le gel purifiant, on peut utiliser deux produits en particulier.
La crème hydratante H : ce produit nommé compensateur apaisant est proposé à 12€ et hydratera les peaux grasses fragilisées.
On peut l’appliquer après le gel moussant.
Le correcteur ciblé pour imperfections locales : au prix de 9€ ce petit tube de 15mL est pratique à mettre dans le sac à main.
Ce produit est formulé pour attaquer plus intensément les imperfections plus importantes en aspirant le sébum.
Ce soin est un bon complément pour effacer rapidement les imperfections plus tenaces.
(Prix constaté en août 2011).
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