Par définition, le cycle de l’eau est l’ensemble de mécanismes complexes internes et externes, liés aux phénomènes concernant les mouvements des eaux sur la Terre.
Différents facteurs, aussi bien physiques que chimiques, associés aux phénomènes météorologiques, géologiques, etc.
, influencent ce cycle.
Les 3 mécanismes principaux du cycle de l’eau sont : L’évaporation C’est le passage de l’eau, sous forme liquide, à l’état gazeux.
Une sublimation peut également se faire.
Il s’agit du passage de l’eau, de l’état solide (glace), à l’état vapeur.
Ce passage à l’état de vapeur est régi par l’intensité du rayon solaire.
Plus le climat est chaud et sec, plus l’évaporation est plus élevée.
La condensation C’est l’inverse de l’évaporation.
C’est le passage de l’eau, de l’état de vapeur, à l’état liquide.
En s’élevant dans l’atmosphère, l’air humide, sous forme de particules, se refroidit sous l’effet de phénomènes d’instabilité.
Elles arrivent à saturation, à une certaine altitude, et se condensent pour former des gouttelettes d’eau ou de glace.
Cette condensation est ensuite visible sous la forme de nuages, puis brisée aux sols et aux océans, sous forme de précipitations.
La précipitation C’est la chute de l’ensemble de particules (solides ou liquides).
Les précipitations sont des résultats liés aux variations de température, de pression.
Leur ampleur est fonction des conditions climatiques.
Les précipitations dépendent d’un phénomène d’assemblage des gouttes d’eau, leur attribuant une masse élevée, conduisant à leur chute.
Les précipitations, sous forme liquide, sont, en partie, capturées par la couverture végétale qui les renvoie à l’atmosphère sous forme de vapeur par le phénomène de l’évapotranspiration.
Les précipitations résiduelles gagnent le sol, et le cycle reprend son cours.
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