Un jour, une maman épanouie par sa première grossesse, et un accouchement qu’elle avait merveilleusement bien vécue, raconta que son second accouchement lui avait été catastrophique.
Elle avait dû subir une césarienne ! Elle avait reconnue l’utilité de l’acte en lui-même, mais avait eu l’impression de ne pas accoucher.
Pendant une semaine, elle a rejeté cet enfant, et consciente de la gravité, elle en a toujours parlé à son enfant, qu’elle a bien sûr, par la suite, aimé et adulé.
L’enfant a, lui, occulté les informations, et à vecu cette période comme un traumatisme.
A l’adolescence, ce problème a refait surface, et a pu être maîtrisé grace à la reconnaissance de la maman.
Mais combien d’enfants vivent avec des chocs de naissances, sans pouvoir se contruire ? Il est primordial de pouvoir reconnaître ses émotions, de les exprimer, et surtout, de sortir des tabous que nous imposent la société afin d’autoriser la construction de nos enfants dans ce monde pas si simple.