%%% Arrivée en TGV à la Gare de Lyon à Paris, j’aperçois un amas de graffitis sur les murs de la ville, près du terminus de la ligne.
J’ai bien préparé mon séjour de 3 jours à la capitale, sur Internet avant de partir.
Il me faut joindre mon hôtel ; encore faudra-t-il que je trouve le métro qui m’y amènera.
Pas la peine de sortir de la gare, je descends directement au sous-sol, car à Paris, si l’on veut traverser la ville et sa banlieue, tout se passe au sous-sol.
Ici, tous les passagers se comprennent ; une solidarité y est née.
Si l’on veut entrer par les portes où pointer et que l’on n’a pas de ticket ou que l’on a la paresse de le sortir, alors la personne devant soi qui a réussi à ouvrir la porte nous attend pour y passer à deux.
S’il y a du monde dans le métro et que l’on veut tout de même y accéder, les gens assis sur les strapontins se lèvent pour laisser un peu plus de places.
Mais, il y a aussi les mendiants.
Ils ne sont plus là à tendre la main pour quelques pièces.
Maintenant, ils vous créent un petit spectacle, un petit sketch ou une petite chanson instrumentalisée pour vous donner l’envie de donner.
Mon impression du métro parisien lors de ma première venue à la capitale a été l’étonnement et l’inconnu de cette vie sous terre.
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