Découverte de la ville La commune anciennement dans le département de l’Isère est rattachée depuis 1968 au département du Rhône (69) dans la région Rhône-Alpes et se situe plus précisément dans la banlieue sud-est de Lyon.
Elle est établie sur 3000ha et membre de la Communauté Urbaine du Grand Lyon.
Classée cinquième ville du département, l’évolution démographique a été fulgurante durant ces dernières années : 41000 habitants recensés en 2010 qu’on nomme des san-priots.
La localité possède de nombreux commerces, parcs et se trouve correctement desservie par les transports en commun.
Son développement économique, notamment dans le tertiaire, la rend particulièrement dynamique.
Elle bénéficie d’une mixité alliant l’urbain, le rural et l’industriel.
La foire se déroule en septembre avec des animations de fête foraine, mais aussi un concours agricole et des expositions d’animaux de ferme.
Jumelage Trois villes partagent une collaboration : Mühlheim an Main (Allemagne) Arezzo (Italie) Nouna (Burkina Faso).
Lien de la ville : Ville–saint–priest.
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Histoire De nombreuses découvertes archéologiques ont été mises à jour dans la ville de Saint–Priest, dont un morceau de vase daté vers 5000 avant JC et des outils en silex.
Ces vestiges apportent un témoignage de vie pendant la période Néolithique.
Il y a peu, ce sont des restes gallo-romains qui ont été exhumés ainsi qu’une stèle funéraire d’un jeune enfant datée entre le XIè et XIVè siècle.
Durant le moyen-âge, la localité fut sous l’autorité partagée entre des seigneurs et les évêques de Lyon.
Le premier seigneur est le chevalier Humbert Richard.
Six générations de cette famille perpétuera la dynastie en ces lieux jusqu’à la vente en 1645 du Comté de Saint–Priest au bourgeois lyonnais : Jacques Guignard.
Après le décès en 1821 de François Emmanuel Guignard, ancien ministre de l’intérieur de Louis XVI, le château est vendu (1838).
Dès lors, il passera de mains en mains et finira dans celles de la ville en 1938.
Tout au début du XXè siècle, la commune vivait d’agriculture céréalières, maraîchères, de vignoble et d’élevage.
Les demeures anciennes que sont les corps de ferme (XVIIIè – XIXè) témoignent de ce passé agricole et sont aujourd’hui transformées en appartements.
Après la première guerre mondiale est apparue l’ère industrielle, changeant le panorama et incita une population à venir s’y établir.
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