Le poisson volant plus en détail Les poissons volants sont des poissons des mers chaudes.
On a recensé environ 70 espèces.
Ces poissons se retrouvent dans tous les océans dont les eaux sont chaudes, donc tropicales ou subtropicales.
La principale caractéristique de cette espèce est qu’ils sont dotés de 2 nageoires latérales très larges.
Ce qui leur permet d’effectuer de court vol plané au-dessus de l’eau.
Une capacité qui s’avère très utile dès lors qu’il faut échapper aux multiples prédateurs potentiels que comporte l’océan.
À noter que certaines espèces possèdent également les nageoires inférieures de très grandes tailles, ce qui leur donne 4 « ailes ».
Lorsqu’il désire effectuer un vol plané, il va tout d’abord accélérer sa vitesse à la surface de l’eau en collant ses nageoires à son corps.
Puis, il va sortir de l’eau en déployant ses nageoires.
Ainsi cela lui permet de planer sur des longueurs comprises entre 30m et 50m (des vols de l’ordre d’une centaine de mètres ayant déjà vu), et leur permettant de doubler leur vitesse leur permettant de dépasser les 60km/h.
À noter que les poissons volants peuvent également effectuer plusieurs séries de petit vol plané.
Pour cela, ils se servent de leur queue comme d’un appui leur permettant de reprendre une nouvelle impulsion sur la surface de l’eau et produisant une nouvelle impulsion.
Les différentes sortes de poisson volant Ainsi, selon l’ITIS (Integrated Taxonomic Information System ou système d’information taxonomique intégré en français), il existe 8 espèces de poisson volant qui sont les suivants : Le Cheilopogon Lowe, recensé en 1841.
Le Cypselurus Swanson, recensé en 1838.
Le Danichthys Bruun, recensé en 1934.
L’Exocoetus Linnaeus, recensé en 1758.
Le Hirundichthys, recensé en 1928.
Le Fiator Jordan et Meek, recensé en 1885.
Le Parexocoetus Bleeker, recensé en 1866.
Le Prognichthys Breder, recensé en 1928.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.