L’homme, dès sa plus tendre enfance, à l’âge même du nourrisson, n’a t-il pas déjà une peluche fétiche, qui va atténuer ses pleurs.
Cela nous démontre bien que ce besoin de se sentir bien fait partie de notre instinct.
Les façons employées sont nombreuses, quoi qu’il en soit nous aimons tous nous sentir bien.
Bien que personne ne soit parfait.
Cette recherche qui dure tout au long d’une vie se présente sous des actes, des pensées, qui diffèrent bien d’un individu à un autre.
Toutes aussi variés en un chacun, suivant notre personnalité.
Un individu ce sera : voiture dernier cri avec les options qui vont de paires.
Cette voiture, pourtant que du matériel, l’acquérir quel rapport avec le bien-être en soi ? Et bien, je dirai : le fait d’éprouver une satisfaction, d’avoir réussi à posséder un objet qui a une certaine valeur, le pouvoir d’achat.
La vraie raison, une satisfaction de soi de pouvoir s’acheter un beau véhicule nous rassure.
Chaque humain possède ses filières et ses moyens afin d’améliorer son existence, elles lui sont propres et adaptées à ses souhaits et ses vœux les plus chers.
Les peluches qui calmaient ses pleurs durant son enfance, ont un aspect bien différent dans les années qui suivent, durant sa vie.
Je pense que nous avons toujours besoin de ses peluches, mais elles changent au cours de notre vie.
Nous sommes une espèce de prédateur, dont la proie primordiale est le bien-être.
Citons un autre domaine d’action, le sport c’est physique et pourtant cela devient mental au fil des étapes.
Au départ, on fixe un objectif, on désire l’obtention d’une réussite, l’objectif atteint même si on est pas devenu cet athlète qu’on avait imaginé reste le résultat qui nous rassure d’où émane une sensation de se sentir plus fort, et par là on se sent bien.
Nous savons tous combien il est important d’avoir la santé, d’avoir un emploi, d’être heureux, d’avoir les moyens financiers en conclusion de se sentir bien.
Cette quête au plus profond de nous même nous stabilise.
La pratique de relaxation, comme le yoga, favorise ce bien-être.
La réponse est en nous.
Dans un message publié sur Twitter, le ministre ukrainien des affaires étrangères, M. Kuleba, a appelé la population à boycotter trois entreprises bien connues.