Comment soigner un chagrin d'amour ?

Se prendre en main : la réflexion positive Le remède miracle est illusoire.
La meilleure aide est l’activité et la réflexion positive à prendre également soin de soi, de se reconstruire.
Le chagrin d’amour est là ; il faut réagir, guérir, sortir de cette dépendance affective pour continuer à vivre, à aimer les gens qui sont encore avec nous.

Se soulager en commençant à se dire que si ça n’a pas marché, c’est qu’un manque de complémentarité existait.
Et dont chacun a bien un chemin à suivre.
Respectons cette vie qui est la nôtre, ne la gaspillons pas.
Admettons même si l’exercice est difficile, comprenons les raisons de l’être aimé qui se sépare de nous.
La jalousie, une obsession amoureuse qu’il faut bannir, elle favorise les douleurs et les destructions.
Elle nous offre une existence empoisonnée.
La possessivité n’en résulte qu’un effet inverse, on ne possède pas un être humain.
Toutes ses émotions ne sont que pertes de temps.
Pourquoi vouloir changer l’autre à tout prix ? Est-ce par peur qu’il nous est infidèle, d’être berné qu’il manque de confiance.

Elles nous font adopter des attitudes non dignes d’être aimées, mais plutôt d’être fuites.
Il faut travailler sur les points négatifs, les diminuer et les contrôler.
Ce sont bien souvent ce type d’émotions qui nous font souffrir lors d’une rupture.
Se forcer à aller vers les autres permet de relativiser ce chagrin d’amour, d’atténuer psychologiquement cette dépression amoureuse.
Les sorties peuvent s’occasionner, et on peut s’apercevoir d’éprouver quelques attirances.
C’est que la vie est encore là.
Et dans le futur, une possibilité de trouver sa vraie moitié.
Se reconstruire : l’activité Redécouvrir son corps par l’activité, prise de conscience qu’on est là aussi et que prendre soin de soi est important pour guérir.
Par des actions que nous nous efforcerons de biens mener, des satisfactions en seront le résultat.
L’activité sportive peut être bénéfique.
Dans tous les cas de figure, bon pour le corps.
Voir son physique se modeler en allure sportive émet tôt ou tard des compliments qui peuvent apporter un contentement de soi.
S’accomplir dans des tâches manuelles, le bricolage, ou artistique telles que le dessin nous soigne contre cette dépendance sentimentale.
L’activité permet l’évasion, en nous accaparant l’esprit.
Ce qui est bon pour le physique et bon pour le mental.
Et le temps finit par cicatriser nos blessures de cœurs.
Guéris, nous poursuivons notre chemin.