Les essences ont une action cicatrisante L’importante activité des essences aromatiques vis-à-vis des constituants des tissus explique leur pouvoir antiseptique et « embaumant », leur pouvoir de reconstitution tissulaire, c’est-à-dire cicatrisant à propos des brûlures et des plaies.
Dans le cas des maladies de la peau, ces lésions indiquent une composition anormale des téguments et la présence d’un facteur de désintégration.
Les essences provoqueront, outre l’arrêt de la désintégration, une synthèse des tissus qui aboutira à leur reconstruction.
Des guérisons à la clé Une odeur agréable est contemporaine et facteur de santé comme de beauté.
En cas de maladies, des essences sélectionnées doivent permettre d’obtenir la guérison, car, modifiant l’odeur (par des réactions physico-chimiques), elles doivent normalement modifier la forme.
La pratique confirme ces données.
Pour plus de précisions, se rapporter aux différentes propriétés des phénols et des alcools.
Elles soignent les dermatoses diverses Eczémas secs, suintants, l’acné, rougeurs trouvent leur solution dans le traitement aromatique local et général (une lésion cutanée est toujours l’indice d’un mauvais état organique).
Or, l’application locale des essences agit également sur les organes sous-jacents (foie, intestin, système circulatoire).
Outre le Citral, employé en pommades ou en injectable, certaines pâtes neutres ou acides, on peut également utiliser dans le traitement de l’eczéma certains complexes particuliers d’essences de fleurs (tant françaises qu’exotiques).
Elles possèdent une action non irritante Ces produits agissent également sur nombre d’affections cutanées les plus diverses, notamment l’acné, les plaies atones, certains psoriasis, gale du ciment, masque de grossesse.
Mises à part quelques essences fortement rubéfiantes comme la moutarde, la cannelle, le girofle, la térébenthine, le pin, le cyprès, la grande majorité n’a qu’une action irritante des plus réduite sur les téguments.
Les essences déterpénées sont sans action irritante sur les divers tissus.
En conclusion, les propriétés d’absorption de la peau ont, de tout temps, été utilisées dans le traitement d’affections générales et la pharmacopée moderne présente des diversités précieuses destinées par des applications cutanées à entraîner un retentissement absolu sur l’organisme grâce à ces fidèles essences.
Sources : familiales
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