Nous y incarnons Duke Nukem, soldat indépendant macho, qui a toutes les femmes à ses pieds, et qui lutte contre une armée de porcs, qui impose sa loi, et utilise les humains comme des esclaves.
Le jeu est en tout point similaire aux jeux précédents, et les forts symboles phalliques sont toujours présents (pistolets en or, aucune limite face à la loi, égalité des sexes totalement bafouée).
Duke a toujours toutes les femmes à ses pieds, et ne se prive toujours pas d’allusions, toujours plus osées et salaces… Au final, le jeu partage les avis.
Il plaît à certains, et déçoit les autres.
Peut-être est-ce lié à l’attente qu’il a suscitée (son développement aura duré 12 ans), ou au fait que finalement, le studio n’a pas su gérer et implanter toutes les nouvelles possibilités qui ont vu le jour au fur et à mesure du (trop) long développement de son software.
Il sera défini par la critique comme un FPS action qui possède de bonnes bases, mais qui n’est pas assez poussé dans le gameplay (il est toutefois recommandé à tous les fans du macho blond aux lunettes noires).
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