Les autorité iraniennes ont annoncé vouloir interdire WhatsApp dans le pays en raison des origines juives de Mark Zuckerberg.
« La raison à cela est que Marck Zuckerberg, le propriétaire de WhatsApp et fondateur de Facebook, est un sioniste américain », a déclaré Abdolsamad Khorramabadi, le chef du Comité du pays sur les crimes Internet. Le régime iranien voit d’un très mauvais oeil la présence de réseaux sociaux comme Facebook, Twitter ou Google+, qu’il estime être des moyens de communication facilitant les mouvements révolutionnaires. Ces derniers sont d’ailleurs bloqués dans le pays.
Mais cette interdiction semble créer des dissensions au sein même du gouvernement, qui tente d’ouvrir un peu plus l’Iran à la modernité. « Le gouvernement est totalement opposé au bannissement de WhatsApp », a déclaré le ministre des Communications, Mahmoud Mehr, dans un communiqué officiel relayé par l’Agence de presse de la République islamique (IRNA) et diffusé sur Twitter :
#Iran Communications Minister: Government of #Prudence & #Hope fully opposed to filtering of WhatsApp
— Meet Iran (@MeetIran) 3 Mai 2014
D’autre part, selon le Washington Post, le Comité iranien pour les crimes Internet n’aurait pas l’autorité nécessaire pour interdire WhatsApp. Il apparaît d’ailleurs que le réseau social de messagerie instantanée fonctionne toujours à l’heure actuelle en Iran.
Une tentative d'effraction peut laisser les propriétaires vulnérables et anxieux. Savoir comment réagir immédiatement après un tel événement est crucial pour sécuriser votre espace et aider à l'enquête.