Lundi 28 octobre, lors de la visite d’Etat d’Emmanuel Macron à Rabat, la France et le Maroc ont signé des accords et contrats d’investissement d’une valeur totale de « jusqu’à dix milliards d’euros », selon la présidence française. Ces accords, signés en présence du président français et du roi Mohammed VI du Maroc, concernent une variété de secteurs, y compris le transport ferroviaire, les énergies renouvelables – un domaine dans lequel le Maroc souhaite exceller, la transition énergétique et la coopération en matière de connectivité énergétique.
La firme française Egis est censée contribuer à l’élaboration de la deuxième partie de la ligne de train rapide reliant Tanger à Marrakech, une tâche également attribuée à Alstom qui devrait fournir entre douze et dix-huit trains à grande vitesse. Le roi marocain et le président français avaient inauguré le premier tronçon en 2018.
Selon ses communiqués, Alstom est enchanté d’avoir été choisi pour ce projet. La nouvelle génération de trains offrira le « coût de cycle de vie par siège le plus compétitif du marché » et améliorera considérablement l’expérience des voyageurs.
Dans le secteur du rail, le ministre français de l’économie, Antoine Armand, a signé une déclaration d’intention avec son homologue marocain concernant des « facilités de financement ».
Le géant français de l’énergie, TotalEnergies, s’est de plus engagé à développer l’hydrogène vert au Maroc, après avoir conclu un accord similaire avec la Tunisie en mai pour la construction d’un grand complexe de production et d’exportation d’hydrogène vert dans le sud du pays.
Engie et l’Office chérifien des phosphates se sont engagés dans un accord visant à renforcer leur « partenariat dans la transition énergétique », y compris dans le domaine des énergies renouvelables. Par ailleurs, l’Agence Française de Développement sera en charge de soutenir l’industrie marocaine des phosphates afin de réduire ses émissions de carbone, grâce à un prêt de 350 millions d’euros. De plus, EDF a formalisé un accord pour agrandir le parc éolien de Taza.
Les pièces forgées se caractérisent par un fibrage suivant leur géométrie, à l’instar du grain du bois.
Voilà les dix meilleures villes plus propices à l’investissement immobilier : Nîmes se trouve à la première position, suivie par Reims et Montpellier.
Cette décision vient après que la SNCF ait revu sa politique tarifaire.