Suite à une grève annoncée par l’UNSA-ICNA, l’un des principaux syndicats de contrôleurs aériens, la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) a demandé aux compagnies aériennes de supprimer 70% de leurs vols à Paris-Orly prévus pour le samedi 24 mai. Cet appel à la grève fait suite au refus du syndicat d’un accord qui avait été signé le mois précédent. Les compagnies aériennes ont été invitées à réduire leur horaire de vols commerciaux de 6h à 21h30 (heure de Paris) ce jour-là, d’après une « notice pour les missions aériennes » diffusée par la DGAC. Cependant, les vols destinés à l’outre-mer et qui décollent d’Orly ne sont pas concernés par cette demande de réduction, en respectant la « continuité territoriale », a déclaré l’Aviation civile. Le syndicat UNSA-ICNA, qui avait reçu 17% des votes lors des dernières élections professionnelles, a protesté pour réclamer des « effectifs adéquats », une promesse non tenue selon eux dans l’accord passé fin avril entre la DGAC et le syndicat principal des contrôleurs, le SNCTA (60% des voix). D’après le syndicat, l’accord signé en dernière minute fin avril n’a pas résolu la situation de « sous-effectifs » à Orly qui s’annoncent pour 2027.
L’accord visant des actions de soutien, notamment en termes de salaire, en prévision de la révision du contrôle aérien en France a été refusé par l’UNSA-ICNA et le troisième syndicat reconnu, l’USAC-CGT. Ces derniers ont maintenu un appel à la grève pour le 25 avril. Cette mobilisation a entraîné l’annulation de plusieurs milliers de vols en France et en Europe.
Au même moment que l’action de l’UNSA-ICNA à Orly, l’USAC-CGT a lancé un appel à la grève du 23 au 30 mai pour exprimer leur mécontentement contre l’affaiblissement prévu du « réseau territorial », selon le syndicat, par la réforme du contrôle aérien.
Les pièces forgées se caractérisent par un fibrage suivant leur géométrie, à l’instar du grain du bois.
Voilà les dix meilleures villes plus propices à l’investissement immobilier : Nîmes se trouve à la première position, suivie par Reims et Montpellier.
Moody's remet le couvert! L'agence de notation a annoncé qu'elle envisageait de dégrader les notes de 17 grandes banques mondiales et de 114 institutions financières européennes pour refléter les risques accrus liés à la crise de la dette de la zone Euro.
Cette décision vient après que la SNCF ait revu sa politique tarifaire.