Rachida Dati, la ministre de la culture, a affirmé que le moment était propice pour une fusion de l’audiovisuel public en 2026 lorsqu’elle a initié l’examen de cette importante réforme en commission à l’Assemblée nationale le mardi 14 mai. Elle a expliqué que l’objectif était de créer une « entreprise unique » qui regroupe France Télévisions, Radio France, France Médias Monde (RFI, France 24) et l’INA (Institut national de l’audiovisuel) au 1er janvier 2026, suite à une « phase intermédiaire » sous une structure de holding en 2025.
Selon Mme Dati, cette « entreprise unique » permettrait de mettre en œuvre une « stratégie partagée » qui tient compte des spécificités de la télévision, de la radio et du numérique afin de « s’adresser à tous les Français ». Elle pense que l’audiovisuel public a des « forces incontestables » qui sont actuellement « dispersées », ce qui le rend vulnérable face à la concurrence des plateformes internationales comme Netflix.
Cette réforme majeure, un sujet récurrent depuis l’élection d’Emmanuel Macron en 2017, a pris forme à une vitesse fulgurante alors qu’aucune attente n’avait été exprimée il y a six mois. Dès son arrivée en janvier, la ministre de la culture avait exprimé sa volonté de « rassembler les forces » de l’audiovisuel public en allant au-delà des rapprochements en cours entre France Télévisions et Radio France.
Dans cette première phase législative, la commission des affaires culturelles a 260 modifications planifiées jusqu’à mercredi. Après cela, le document est censé être présenté pour une première lecture en plénière les 23 et 24 mai, sauf cas de congestion législative. Les syndicats de Radio France, qui sont contre le projet, ont déjà annoncé une grève pour ces deux jours.
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