Emmanuel Macron, le président français, a critiqué, le mercredi 27 mars, au Brésil un accord commercial entre l’Union Européenne (UE) et le Mercosur, le bloc sud-américain. Il a qualifié cet accord de « très mauvais » et a insisté sur la nécessité d’en élaborer un autre. « Cet accord, tel qu’il est actuellement négocié, est défavorable pour vous et pour nous », a-t-il déclaré lors d’un forum économique à Sao Paulo, critiquant l’absence de considération pour les questions de biodiversité et de climat dans ledit accord.
Macron a alors proposé la mise en place d’un autre accord qui prendrait en compte les défis environnementaux pour l’UE ainsi que pour le Mercosur, un marché commun qui réunit le Brésil, l’Argentine, l’Uruguay, le Paraguay et la Bolivie.
Il estime que ce nouvel accord doit être responsable en termes de développement, de climat et de biodiversité. Un accord qui faciliterait l’accès des entreprises du Mercosur au marché européen mais qui serait plus exigeant envers nos agriculteurs et industriels.
Macron a exprimé à plusieurs reprises son opposition à cet accord commercial, affirmant que les règles ne sont pas « homogènes » avec les normes européennes. Ce traité, dont les discussions ont débuté en 1999, vise à éliminer la majorité des droits de douane entre les deux régions en créant un espace de plus de 700 millions de consommateurs.
Following a political agreement in 2019, the opposition from several countries, including France, has hindered its ultimate adoption. This opposition has intensified with the ongoing agricultural crisis in Europe. Other European countries like Germany and Spain, on the other hand, are advocating for its conclusion and enforcement. Brazil, a major player in Mercosur, tirelessly champions the adoption of the agreement with the EU. Feel free to reuse this content.
Les pièces forgées se caractérisent par un fibrage suivant leur géométrie, à l’instar du grain du bois.
Voilà les dix meilleures villes plus propices à l’investissement immobilier : Nîmes se trouve à la première position, suivie par Reims et Montpellier.
Cette décision vient après que la SNCF ait revu sa politique tarifaire.