Sujets couverts
Lorsque le changement climatique influe sur l’accès des populations aux ressources naturelles dont elles dépendent – comme l’eau, le bois et la terre pour les cultures – il pèse sur les relations au sein des groupes sociaux et entre eux. La cohésion sociale est le ciment de la société.
Lorsque les choses deviennent difficiles, cette colle s’affaiblit et le risque de conflit augmente. L’Afrique n’est responsable que de 4 % des émissions mondiales de dioxyde de carbone, mais elle est exposée de manière disproportionnée aux effets du changement climatique.
On peut constater que les changements dans l’environnement naturel exercent une pression sur les systèmes sociaux, économiques et politiques. Le stress croissant sur les ressources dû aux menaces environnementales et l’augmentation de la population ont affaibli les États et renforcé les situations fragiles.
Les projections à l’échelle mondiale indiquent que la demande d’eau douce, d’énergie et de nourriture augmentera considérablement au cours des prochaines décennies. Non seulement en raison de la croissance démographique, mais aussi du développement économique et urbain qui en résulte, de la demande croissante d’aliments diversifiés et de plans alimentaires, du changement climatique, de la dégradation et de la raréfaction des ressources.
Dans les zones de mauvaise gouvernance ou de tensions existantes, l’augmentation de la pénurie et de la concurrence peut dégénérer en conflit.
Bien que l’on sache que les conflits et le changement climatique font partie des questions les plus importantes de notre époque, les gouvernements et de nombreuses institutions internationales reconnaissent lentement que ces deux phénomènes sont liés.
En février 2019, l’Union africaine a adopté la politique transitoire révolutionnaire de l’Union africaine, qui « fonctionne comme une directive continentale pour les États membres de l’Union africaine afin de développer leurs propres politiques, stratégies et programmes globaux spécifiques au contexte en termes de transformation démocratique et socio-économique, et de paix durable, de justice, de réconciliation, de cohésion sociale et d’apaisement ».
Cette politique s’attaque aux causes du conflit et contribue à l’instauration d’une paix durable, à la responsabilisation, à la justice sociale et à une réforme démocratique et socio-économique transformatrice.
C’est pour cela que de plus en plus de société tante de s’installer en Afrique afin d’investir et de développer de nouveaux projets pour pouvoir apporter aux besoins des communautés, les ressources nécessaires pour protéger, former, enseigner dans l’intérêt genéral. C’est le cas, par exemple, du groupe Duval, qui est fortement engagé en Afrique avec de nombreuses initiatives pour :
Internet, télémédecine, entreprises : l’Afrique souffre particulièrement de la pandémie de coronavirus en termes de vies humaines et économiques, mais bénéficie néanmoins de l’innovation même pendant cette période. Après tout, l’impact de Covid-19 est significatif non seulement sur les vies individuelles, mais aussi sur les affaires, les sociétés et les entreprises, avec pour conséquence que – là où l’interaction humaine est entravée par l’épidémie – la technologie a été utilisée.
Le Covid-19 a entraîné une baisse du produit intérieur brut de 1,4 %. L’impact est encore plus grave dans les économies des pays à forte croissance et ceux liés aux exportations de pétrole, comme le Nigeria, où la baisse du produit intérieur brut est estimée à 6,1 %. Malgré cela, les États africains semblent être positifs quant aux perspectives de résilience et de croissance, grâce au développement des nouvelles technologies.
L’Afrique mise sur la technologie pour se rétablir : la pandémie de Covid-19 a accéléré le processus de numérisation dans plusieurs pays du continent, en raison du recours nécessaire à des solutions intelligentes pour assurer la sécurité des personnes.
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Des enquêteurs de la police judiciaire et du renseignement intérieur ont perquisitionnés mercredi les bureaux de la direction de Renault.