Le télétravail à 100 % « partout où c’est possible » ne va plus être réclamé aux employeurs et à leurs personnels. A partir du jeudi 7 janvier, il y aura des nouvelles règles pour le télétravail. Les salariés qui, jusqu’à présent, accomplissaient toutes leurs tâches à distance, pourront revenir dans l’entreprise un jour par semaine, s’ils le demandent.
La ministre du travail, Elisabeth Borne, a confirmé cette décision, lundi 4 janvier, lors d’une réunion avec les partenaires sociaux, en visioconférence. L’hypothèse de consignes moins strictes avait déjà été évoquée dès la mi-décembre 2020, mais la date, tout comme les comme les modalités d’un tel aménagement, étaient incertaines.
Elle a rappelé que syndicats et patronat ont accepté fin novembre de signer un accord national interprofessionnel sur le télétravail. Dans ce cadre, « il pourrait être confié à l’employeur de définir un nombre minimum de jours de télétravail par semaine« , a indiqué le ministère.
Aujourd’hui, le pouvoir accepte de lâcher un peu de lest. « C’est un léger assouplissement, qui répond aux salariés exprimant le besoin de retrouver une vie sociale minimale », confie Madame Borne.
Depuis la fin octobre, le protocole sanitaire en entreprise impose le télétravail comme une règle, précisant qu’il doit être « porté à 100% pour les salariés qui peuvent effectuer l’ensemble de leurs tâches à distance ».
Le protocole sanitaire sera à nouveau mis à jour « au début de l’année prochaine, pour s’assurer que la situation sanitaire ne fera pas apparaître de dégradation », a dit la ministre. Le « protocole national pour assurer la santé et la sécurité » des travailleurs va donc, une fois de plus, être réécrit afin de permettre le « télétravail à 80 % » (quatre jours sur cinq dans une semaine).
Les pièces forgées se caractérisent par un fibrage suivant leur géométrie, à l’instar du grain du bois.
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Cette décision vient après que la SNCF ait revu sa politique tarifaire.