Faites le tour pour négocier Avec plus de 700.
000 transactions immobilières par an, la France se situe en bonne place.
Si vous aussi vous apprêtez à rejoindre le lot de propriétaires, prenez le temps de bien étudier la situation.
Un achat de logement peut être négocié, comme n’importe quel bien.
La situation Étudiez donc d’abord la situation géographique du bien immobilier : l’annonce du logement précisait que toutes les commodités étaient à proximité, alors que vous constatez que l’école est à 1/4 d’heure à pied et le premier boulanger aussi ? Ces éléments peuvent vous permettre de négocier le prix à la baisse.
L’état général Notez ensuite l’état global de la maison : des travaux sont-ils à prévoir ? L’électricité.
La plomberie.
La charpente.
Ce sont des travaux importants qu’il est important de chiffrer si vous pensez qu’il vous faudra y toucher.
N’hésitez pas à être pointilleux dans vos demandes pour obtenir des réponses claires, factures à l’appui, de la part des propriétaires.
Les petits détails Prenez également le temps de vous arrêter sur ce qui peut paraître des détails, comme l’état des meubles de cuisine si elle est vendue équipée, ou le fonctionnement de la porte électrique du garage.
Cela vous évitera les mauvaises surprises et vous permettra, là encore, d’envisager une baisse de prix.
Restez cohérent dans vos offres de prix Une fois le tour de tous ces éléments effectué, il convient de réfléchir à une offre de prix.
Il est judicieux dans ce cas-là de s’être bien renseigné des tarifs du marché sur la région.
Négocier c’est bien, mais le faire de manière rationnelle, c’est encore mieux ! En proposant un prix ridicule, vous prenez le risque de ne pas être crédible, et de voir le bien vous passer sous le nez.
Si un bien est affiché à 200 000€ et qu’il ne présente pas de défauts majeurs, faire une offre à 100 000€ paraît complètement démesuré.
En revanche, bien amenée, une proposition à 180 000€ a toutes les chances de passer.
(Prix constatés en août 2011).
Cette décision vient après que la SNCF ait revu sa politique tarifaire.
Sur les trois premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires de PSA Peugeot Citroën a reculé de 7% à 14,3 Milliards d'Euros.